Toi le réveil qui tire tes détracteurs de leurs rêves, tu me libères de mes cauchemars.
Le matin, quand tu te mets à sonner, certains t’assomment, d’autres se lèvent d’un bon pied.
Tes aiguilles tournent comme une valse, une ronde interminable.
Overall Rating: | |
Debra Ann Congi Very serene. So pretty |
No comments yet